Merci à Pierre Yves Rougeyron d’avoir organisé cet entretien qui m’a permis d’exposer le chantier de reconstruction après la crise. Il ne suffira pas de juger les coupables, de changer les têtes, si l’on ne change pas profondément la culture et le cadre intellectuel qui a mené à un tel niveau d’abaissement où l’on voit notre pays même plus capable de fabriquer des masques et devenir dépendant des contrefacteurs chinois. Un beau chantier a entreprendre sans tarder.