Une « canicule » bien commode pour continuer la propagande sur le réchauffement

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Selon la météo, la vague de chaleur de 2018 se termine. Elle fut du pain béni pour les climato-alarmistes. Les techniques de Propaganda, de Bernays, se sont perfectionnées et ils ont eu l’idée géniale d’évoquer la consommation des conditionnements d’air, même s’il y en a très peu en France et même s’ils ne représentent presque rien en comparaison avec la puissance électrique consacrée au chauffage en hiver.

Les faiseurs de propagande comptent sur notre faible capacité à relativiser, sur notre faible mémoire, notre « enseignement » de l’Histoire, pour nous culpabiliser… nous faire accepter des énergies « vertes » qui n’ont de « vert » que le nom, qui nous polluent et nous ruinent en remplissant les éternelles poches déjà bien pleines. Le conditionnement d’air est une cible habile et beaucoup de gens se sentiront coupables de s’en servir…

Il reste que nous avons eu droit à une fameuse canicule… moins chaude que quelques canicules précédentes. Celles des années trente, par exemple, étaient bien pires que celle de l’été 2018. Durant les années trente, le gaz carbonique (CO2) était à son minimum ! Mais qui le sait ?

Pour faire face au froid en hiver – le froid reste notre principal souci thermique –, les habitations sont progressivement isolées. On construit des maisons « passives » qui ne consomment que très peu d’énergie, qui disposent d’un « puits provençal » 1 pouvant fournir les 1.500 watts de fraîcheur que doivent procurer les climatiseurs. On vous en parle ? Une maison passive ou simplement bien isolée ne rapporte pas des fortunes au lobby éolien !

Et si le soleil a pu produire l’électricité nécessaire à nos climatiseurs à certaines heures de la journée, les éoliennes, elles, étaient à l’arrêt durant les deux derniers mois ! Elles ont bien démontré leur rôle d’« amulette » pour sauver le climat… leur utilité aussi grande que l’utilité des indulgences au Moyen Âge. Le climat se moque bien des amulettes, mais ces amulettes sont d’un grand intérêt pour ceux qui nous ruinent avec notre consentement.

Rappelons que, s’il y a un consensus de 97 % de scientifiques en faveur de la thèse climato-alarmiste du GIEC, il y a, parmi ces scientifiques, 0 % (zéro !) de physiciens ayant étudié le rôle climatique du CO2. Bien au contraire, 100 % des physiciens qui ont étudié la question ont démontré, comme déjà Maxwell au XIXe siècle, que le CO2 n’a pas de rôle dans le climat. Le GIEC s’est basé sur le travail d’Arrhenius (XIXe siècle), vite contredit mais tellement « intéressant » pour ceux qui y trouvent leur intérêt…

Mieux : depuis vingt ans, l’observation faite il y a deux siècles par l’astronome William Herschel, le découvreur d’Uranus, comme quoi la densité des taches solaires influence fortement le climat a été comprise et quantifiée. Et personne n’ignore que les éruptions de volcans et autres phénomènes naturels peuvent aussi avoir une grande importance… mais c’est si émouvant de pouvoir se croire « responsable du climat » au XXIe siècle comme on pouvait se croire « responsable de la vie éternelle » au Moyen Âge !

À ceux qui auraient un doute sur la puissance de la propagande des climato-alarmistes, je suggère de taper « réchauffement climatique » sur Google ! Wikipédia vous étalera les bobards du GIEC, ne laisse aucune place à l’origine solaire des changements climatiques à court terme que nous vivons. Il est vrai que la Propaganda du GIEC permettant culpabilisation et pillage de l’Occident a commencé avant la compréhension et la mesure scientifique des effets des taches solaires…

 
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