…ou le piège technologique de la Blockchain en attendant le verdict de la Cour Suprême
” Chaque tour de magie comporte trois parties ou actes. La première s’appelle la promesse. Le magicien vous présente quelque chose d’ordinaire, un jeu de cartes, un oiseau ou un homme. Il vous le présente, peut-être même vous invite-t-il à l’examiner, afin que vous constatiez qu’il est en effet réel, oui intact. Normal. Mais il est bien entendu loin de l’être. Le deuxième acte s’appelle le tour. Le magicien utilise cette chose ordinaire pour lui faire accomplir quelque chose d’extraordinaire. Alors vous cherchez le secret, mais vous ne le trouvez pas. Parce que bien entendu vous ne regardez pas attentivement. Vous n’avez pas vraiment envie de savoir. Vous avez envie d’être dupé. Mais vous ne pouvez-vous résoudre à applaudir parce que faire disparaître quelque chose est insuffisant. Encore faut-il le faire revenir. C’est pourquoi pour chaque tour de magie il existe un troisième acte, le plus difficile. Celui que l’on nomme le prestige. “
Michael Caine/ Cutter (en voix off à la fin du film) : Le Prestige [i](2006), Christopher et Jonathan Nolan
“Si le public accordait foi à tout ce qu’on fait sur scène, on aurait des hurlements au lieu d’applaudissements… Vous imaginez une femme coupée en deux ? “
Le Prestige, Robert Angier.
Réagissant à l’annonce par les grands médias américains de la victoire à la présidentielle américaine de Joe Biden, ce 7 novembre 2020, le président des Etats-Unis du Mexique, M. M. Lopez Obrador, a très sagement déclaré au nom de son pays qu’il allait « attendre que toutes les questions légales soient résolues. Nous ne voulons pas être imprudent », a-t-il ajouté, réservant comme devraient le faire tous les hommes et commentateurs politiques sensés les appréciations et considérations énoncées dans le feu d’une actualité plutôt chahutée : « Nous ne souhaitons pas agir à la légère et voulons être respectueux de l’autodétermination des peuples et des droits d’autrui ».
Autodétermination des peuples et droits d’autrui ? Voilà bien deux concepts qui semblent avoir échappé à bon nombre de journalistes et de politiques, tel le chef d’Etat français qui s’est imprudemment empressé de féliciter son nouveau maître Joe Biden ainsi que sa colistière Kamala Harris. « Les Américains ont désigné leur Président. Félicitations @JoeBiden et @KamalaHarris ! Nous avons beaucoup à faire pour relever les défis d’aujourd’hui. Agissons ensemble ! », a cru en effet devoir gazouiller le président de la République française après l’annonce par les grands médias américains de la victoire à l’élection présidentielle des Etats-Unis du nouveau taulier démocrate Joe Biden.
On imagine – ce dont en réalité les intéressés n’ont cure, pour parler poliment -, l’image de la France demain dans l’hypothèse que l’on ne saurait exclure pour le moment où D.Trump serait finalement reconnu élu après le constat officiel des fraudes et sérieuses anomalies que personne ne peut aujourd’hui sérieusement écarter.
La presse mondiale annonce unanimement la victoire de Joe Biden. Retournements de veste, délire des radios et media en France, sans exception, sur fond d’Amérique-libérée- enfin-et-de-retour-à-la-démocratie etc., sans compter les cris de joie des migrants de tous poils excités à l’idée d’entrer enfin aux Etats-Unis ou des Frères Musulmans enfin débarrassés d’un ennemi[ii].
L’esprit brouillé par une vision idéologique obsolète, le prisme progressiste (aussi bien en France qu’en Amérique, paradoxalement) méconnaît complètement les enseignements et les traits fondamentaux qui travaillent la société et la politique des Etats-Unis – ce que décrit parfaitement E. Marienstras dans son ouvrage intitulé Les Mythes fondateurs de la nation américaine[iii] : Essai sur le discours idéologique aux États-Unis à l’époque de l’indépendance, 1763-1800, tous éléments de réflexion historique et politique qui permettent de comprendre que les grandes villes de la côte Est et la Californie ne sont pas les seules à l’ouvrage dans les choix profonds qui ont conduit à la naissance des électorats respectifs de D. Trump et de J. Biden.
Mais le compteur tourne et la règle demeure, comme dans tous les véritables duels : « last man standing ». Et l’intéressé est encore debout, plus pugnace que jamais.
J’affirme ici que ce ne sont pas les « media » qui feront l’élection américaine mais peut-être bien un coup de théâtre technologique susceptible de confirmer a posteriori l’existence d’une fraude digne d’un scenario de cinéma.
Toutes ces déclarations de victoire, d’auto-couronnement, de captation avant l’heure de la qualité de « president ou vice-president elect » amplifiées par le caquetage médiatique mondial n’ont en effet aucune valeur officielle dans la mesure où, d’ici le 14 décembre prochain, date à laquelle il appartiendra au Collège Électoral de valider ou non, et donc d’élire définitivement le président (Biden ou Trump), la justice, la Cour Suprême[iv], aura probablement examiné les recours, si tel est probablement le cas,[v] et statué tant sur la forme que sur le fond à propos des anomalies du processus électoral.
Car il y a un très sérieux problème.
I-Il y a eu un glitch dans la machine électorale, un « déjà-vu[vi] » qui montre que l’on a en effet tenté de reformater la matrice électorale et que cela s’est vu.
Dominion, la « Machine » à compter les votes, s’est en effet dévoyée et il se pourrait bien que si l’information se vérifie, les Juges de la Cour Suprême en tirent les conséquences en invalidant l’élection frauduleuse de Joe Biden et tutti quanti.
Un glitch, on le rappelle ici, est une pointe de tension ou une impulsion inopinée, positive ou négative, que produit un convertisseur analogique-numérique ou un circuit logique. Cette défaillance électrique ou électronique se répercute sur le matériel informatique et sur l’exécution des logiciels. Par extension, ce terme est aussi employé pour désigner un bug dans un jeu vidéo qui peut être exploité pour, entre autres, dans ce qui nous préoccupe, altérer, fausser, et qui sait ? peut-être tout simplement de tricher jusqu’à invalider le processus électoral.
Or, aussi surprenante que puisse paraître cette hypothèse et malgré les démonstrations solidement étayées[vii] que l’on trouve çà et là pour montrer que D. Trump a « perdu » ou que Joe Biden a « gagné » – la question n’étant pas d’être en faveur de tel ou tel des champions en lice -, il s’est produit un très grave incident susceptible – l’avenir le dira peut-être -, de remettre en cause le décompte électoral effectué, non pas tant dans deux Etats-clés, mais bien dans 30 Etats.
Deux sujets majeurs découleront désormais de cette fracture civilisationnelle dans laquelle les Etats-Unis d’Amérique sont désormais entrés :
-Sur le plan géopolitique, à l’international, il est désormais évident que le conflit cardinal qui oppose les USA et la Chine risque fort d’être sérieusement obéré par un Joe Biden dont la collusion et la corruption avec les intérêts propres à la Chine l’affaibliront ainsi que le pays tout entier. On imagine déjà la position probablement désormais critique que seront celles de deux pays comme Taïwan et l’Australie.
-Sur le plan politique national la situation sera encore plus délicate car l’on voit mal comment un « président » qui vient d’avouer une entreprise de fraude électorale organisée – tel un vieillard sénile dont les « fils se touchent » et qui dit n’importe quoi -, pourra gérer une population qui lui est hostile et dont la victoire politique lui a été « volée ».
Joe Biden : “We have put together I think the most extensive and inclusive voter fraud organization in the history of American politics.” https://youtu.be/WGRnhBmHYN0?t=5
« Nous avons mis en place, je pense, l’organisation de fraude électorale la plus vaste et la plus inclusive de l’histoire de la politique américaine. »
C’est parler d’or, mais il est probable que l’intéressé n’imagine pas à quel point le piège va se refermer contre lui.
II- La riposte
Depuis son élection en 2016 D. Trump n’a eu de cesse de parer avec succès le coup d’Etat permanent et les multiples coups tordus dirigés et menés contre lui menés par le marécage de la nébuleuse démocrate, jusqu’à l’échec d’une procédure d’empeachment.
L’évènement qui vient de se produire n’est en effet que la réalisation de ce que toute la faillite intellectuelle et partisane d’une presse et d’une classe politique ignares et inféodées à une hystérie progressiste comme celle des sycophantes qui agitent les Etats-Unis, ses laquais européens et particulièrement le caniche français, sont incapable de voir sinon d’admettre, savoir cette entreprise de subversion politique, économique et sociale que le politologue Michael Anton[viii] a quant à lui remarquablement anticipée et décrite dans son ouvrage intitulé, The Coming Coup ? Democrats are laying the groundwork for revolution right in front of our eyes, (lecture fortement conseillée pour qui s’intéresse à une américanologie de très grande qualité).
« Que devraient faire les personnes politiquement vaincues[ix] ? s’interrogeait Jeff Deist, le président du Mises Institute, en 2018. Devraient-elles résister au statu quo politique quoi qu’il arrive, ou l’accepter dans un esprit de courtoisie civile et attendre l’heure des prochaines élections ? Et si leur fortune politique diminue et qu’ils sont de moins en moins susceptibles de l’emporter politiquement ? Quels droits et pouvoirs les minorités politiques apparemment permanentes (par exemple les libertariens) possèdent-elles ? À quel moment la rébellion ouverte est-elle autorisée dans une prétendue démocratie, et comment juger la résistance de principe par rapport aux raisins acides des perdants politiques ?
En outre, que peuvent légitimement faire les majorités politiques – en dépit de l’opposition farouche d’une minorité – et quelles politiques ne peuvent pas être modifiées indépendamment du consensus majoritaire ? Quel butin appartient légitimement aux vainqueurs politiques et quelles règles de longue date ne devraient pas être renversées ?
Ce sont des questions difficiles à l’ère de Trump, d’autant plus que les gouvernements occidentaux ont abandonné il y a longtemps les restrictions constitutionnelles et le cliché « État de droit » en faveur de la gouvernance administrative par des gestionnaires bureaucratiques. La démocratie, du moins la variété de masse pratiquée dans les États-providence occidentaux modernes, n’apporte aucune réponse satisfaisante. Ces gérants non élus sont-ils liés par la volonté populaire, ou à peu près quoi que ce soit ? Qu’est-ce qui retient l’État ?
Ludwig von Mises, un théoricien social solide en plus de son œuvre dans le domaine économique, a clairement identifié vu ces problèmes. Malgré – ou peut-être parce qu’il a été témoin des ravages des combats réels pendant la Grande Guerre, il a choisi d’utiliser le langage de la guerre pour décrire le sort des minorités politiques :
« C’est le libéralisme qui a créé la forme juridique par laquelle le désir du peuple d’appartenir ou de ne pas appartenir à un certain État pouvait s’exprimer, à savoir le plébiscite. L’état auquel les habitants d’un certain territoire souhaitent appartenir doit être déterminé au moyen d’une élection. Mais même si toutes les conditions économiques et politiques nécessaires (par exemple, celles impliquant la politique nationale en matière d’éducation) étaient réunies pour éviter que le plébiscite ne soit réduit à une farce, même s’il était possible de se contenter de faire un sondage habitants de chaque communauté afin de déterminer à quel État ils souhaitent s’attacher, et de répéter une telle élection chaque fois que les circonstances changent, certains problèmes non résolus resteront certainement encore des sources possibles de frictions entre les différentes nationalités. La situation de devoir appartenir à un État auquel on ne souhaite pas appartenir n’est pas moins onéreuse si elle est le résultat d’une élection que si l’on doit la supporter à la suite d’une conquête militaire … une minorité nationale signifie toujours que l’on est un citoyen de seconde zone. »
La rancune presque incroyable qui entoure l’administration Trump montre précisément à quel point les Occidentaux, même les plus riches, vénèrent vraiment la démocratie lorsqu’ils n’aiment pas ses résultats. Les forces anti-Trump se considèrent en effet vaincues, se sentant soudain comme des citoyens de seconde zone dans un pays qu’elles pensaient connaître (un pays où un arc « progressiste » inévitable élirait bien sûr Mme Clinton). Ils n’acceptent pas plus Trump qu’ils n’accepteraient la tête d’une puissance étrangère hostile et occupante.
III- Ce sont désormais les forces anti-Biden qui risquent fort de se sentir lésées. Un avis de gros temps et de perturbations sérieuses est à prévoir.
Les bulles de gaz méphitique du Marécage (The Swamp) remontent à la surface et l’on commence sérieusement à s’intéresser aux Etats-Unis à tous ces morts qui ont voté et « signé des documents légaux », comme on peut le voir ici avec un exemple tiré d’une profusion d’informations qui accréditent de plus en plus la réalité d’un très sérieux glitch électoral à l’échelle du pays tout entier :
Gov. Noem Details Reports Of Glitches, Dead People Voting : “People Have Signed Legal Documents”
Le gouverneur Noem détaille les rapports de glitches et de morts qui ont voté : « Des gens ont signé des documents juridiques ».
IV- La surprise technologique inattendue des bulletins de vote encryptés et filigranés.
La question demeure, à l’issue de cette prestation de Magie électorale : après la Promesse et le Tour, qui remportera le Prestige ?
Ce pourrait bien être D. Trump, finalement, avec l’aide d’un acteur inattendu : la technologie Blockchain QFS, avec l’intervention d’un spécialiste dont il est probable que le nom sera bientôt prononcé sur tous les media : le Dr Steve Pieczenick, comme on peut déjà le découvrir ci-après avec la mise en place d’une percée technologique dont les Démocrates vont mesurer l’efficacité à leur détriment :
Voici ce que l’on apprend en effet et que les électeurs-fraudeurs du camp Biden pourraient bien découvrir prochainement, si ce n’est déjà fait à l’heure actuelle :
Tous les détails sont expliqués ci-après, ce que l’on pourra résumer de la manière suivante en retenant que D. Trump a littéralement piégé les Démocrates dans l’usage des instruments de leur fraude électorale : les bulletins de vote eux-mêmes.
La blockchain du système financier quantique est basée sur un ordinateur installé sur un satellite en orbite autour de la Terre et protégé par l’US Space Force, qui a été créée principalement pour protéger cette technologie, plutôt que pour explorer l’espace comme la NASA.
Sans entrer dans les détails exacts, le Dr Pieczenik a déclaré que le code secret permettrait au gouvernement de suivre les bulletins de vote et, bien sûr, de confirmer lesquels étaient réels. Des rapports non confirmés ont indiqué que le filigrane était un isotope non radioactif qui peut être visualisé sous une lumière spéciale.“
Notes et références :
Cf. aussi Brun Jeanine. E. Marienstras, Les mythes fondateurs de la nation américaine. Essai sur le discours idéologique aux États-Unis à l’époque de l’Indépendance 1763-1800. In : Annales. Économies, Sociétés, Civilisations. 32ᵉ année, N. 1, 1977. pp. 146-149.
www.persee.fr/doc/ahess_0395-2649_1977_num_32_1_293803_t1_0146_0000_001
Cf. encore, les recensions d’Yves Florenne, « Nous, le peuple, d’Elise Marienstras », Elise Marienstras, Nous, le peuple, Gallimard, « Bibliothèque des Histoires », Paris, 1988, https://www.monde-diplomatique.fr/1988/10/FLORENNE/41218 et Dick Howard, Naissance de la pensée politique américaine. 1763-1787, Ramsay, Paris, 1987, https://www.monde-diplomatique.fr/1987/09/FLORENNE/40284
[viii] Michael Anton, The Coming Coup ?Democrats are laying the groundwork for revolution right in front of our eyes,The American Mind, Salvo, 09/04/2020, https://americanmind.org/salvo/the-coming-coup/
Cf. aussi : Michael Anton, The Stakes : America at the Point of No Return, Regnery Publishing, July 21st 2020, Sept. 1, 2020, https://theworthyhouse.com/2020/09/08/the-stakes-america-at-the-point-of-no-return-michael-anton/